Notre coordinateur
Sylvain Defruit a débuté le tennis à l’âge de six ans. D’abord licencié à Monceaux, il a intégré le Tennis club de Pont-Sainte-Maxence à l’âge de 12 ans. « 𝘔𝘦𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘫𝘰𝘶𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘶 𝘵𝘦𝘯𝘯𝘪𝘴 𝘢𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘪𝘭𝘴 𝘮’𝘺 𝘰𝘯𝘵 𝘮𝘪𝘴 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘵𝘰̂𝘵 𝘦𝘵 𝘫’𝘢𝘪 𝘢𝘤𝘤𝘳𝘰𝘤𝘩𝘦́. 𝘘𝘶𝘢𝘯𝘥 𝘫’𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘴 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵, 𝘫’𝘢𝘪 𝘦́𝘵𝘦́ 𝘳𝘦𝘱𝘦́𝘳𝘦́ 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘢 𝘙𝘦́𝘨𝘪𝘰𝘯. 𝘗𝘦𝘯𝘥𝘢𝘯𝘵 𝘥𝘦𝘶𝘹 𝘢𝘯𝘴, 𝘫’𝘢𝘪 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘢𝘴𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵𝘴, confie-t-il. 𝘌𝘵 𝘱𝘶𝘪𝘴, 𝘫𝘦 𝘯’𝘢𝘪 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘦́𝘵𝘦́ 𝘭𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘧𝘰𝘳𝘵. 𝘑’𝘢𝘪 𝘮𝘢𝘭𝘨𝘳𝘦́ 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘶𝘦́ 𝘤𝘢𝘳 𝘫’𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘭𝘦 𝘵𝘦𝘯𝘯𝘪𝘴. »
Passionné de sport, Sylvain Defruit suit une licence de sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) et envisage de devenir professeur d’EPS en collège. « 𝘑’𝘢𝘪 𝘱𝘢𝘴𝘴𝘦́ 𝘥𝘦𝘶𝘹 𝘧𝘰𝘪𝘴 𝘭𝘦 𝘊𝘢𝘱𝘦𝘴, 𝘦𝘯 𝘷𝘢𝘪𝘯 », résume-t-il. Sylvain Defruit ne s’avoue pas vaincu pour autant. Il prend à la volée un poste d’entraîneur au sein du TC Pont, qui compte désormais 240 licenciés.
A 43 ans, il entraîne des enfants et des adultes, en loisirs et surtout en compétition. Son travail et celui de ses collègues portent leurs fruits puisque le club a remporté pas moins de 12 titres lors de la saison passée.
« 2024 𝘢 𝘦́𝘵𝘦́ 𝘶𝘯𝘦 𝘢𝘯𝘯𝘦́𝘦 𝘦𝘹𝘤𝘦𝘱𝘵𝘪𝘰𝘯𝘯𝘦𝘭𝘭𝘦, confirme l’entraîneur. 𝘊’𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯 𝘤𝘭𝘶𝘣 𝘢𝘹𝘦́ 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯. 𝘋𝘦̀𝘴 𝘲𝘶’𝘶𝘯 𝘣𝘰𝘯 𝘯𝘪𝘷𝘦𝘢𝘶 𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘦́𝘵𝘦𝘤𝘵𝘦́ 𝘤𝘩𝘦𝘻 𝘭𝘦𝘴 𝘦𝘯𝘧𝘢𝘯𝘵𝘴, 𝘰𝘯 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘱𝘳𝘰𝘱𝘰𝘴𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘪𝘯𝘥𝘪𝘷𝘪𝘥𝘶𝘦𝘭𝘴, 𝘱𝘳𝘪𝘴 𝘦𝘯 𝘤𝘩𝘢𝘳𝘨𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦 𝘤𝘭𝘶𝘣. 𝘓𝘢 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘥𝘦́𝘵𝘦𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯/𝘴𝘦́𝘭𝘦𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘹𝘪𝘴𝘵𝘦 𝘥𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘭𝘰𝘯𝘨𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴. 𝘊𝘦𝘭𝘢 𝘦𝘹𝘪𝘨𝘦 𝘶𝘯 𝘪𝘯𝘷𝘦𝘴𝘵𝘪𝘴𝘴𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘪𝘮𝘱𝘰𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘦𝘯𝘵𝘴. 𝘚’𝘪𝘭𝘴 𝘯𝘦 𝘱𝘦𝘶𝘷𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘦𝘮𝘮𝘦𝘯𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘦𝘯𝘧𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘢𝘶𝘹 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘦́𝘵𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴, 𝘪𝘭 𝘯’𝘺 𝘢𝘶𝘳𝘢 𝘱𝘢𝘴 𝘥𝘦 𝘤𝘭𝘢𝘴𝘴𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘵 𝘥𝘰𝘯𝘤 𝘱𝘢𝘴 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘨𝘳𝘦𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯. »
La progression est parfois telle que l’élève finit par dépasser le maître. Malgré tout, il n’est pas question pour Sylvain Defruit de déclarer forfait. « 𝘊𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘶𝘳, 𝘤𝘦 𝘯’𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘥𝘦 𝘨𝘢𝘳𝘥𝘦𝘳 𝘴𝘢 𝘤𝘳𝘦́𝘥𝘪𝘣𝘪𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘧 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘨𝘢𝘳𝘥𝘦𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘦́𝘭𝘦̀𝘷𝘦𝘴, admet-il. 𝘗𝘰𝘶𝘳 𝘱𝘳𝘰𝘨𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘳, 𝘪𝘭 𝘧𝘢𝘶𝘵 𝘵𝘰𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘫𝘰𝘶𝘦𝘳 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘧𝘰𝘳𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘴𝘰𝘪, 𝘤̧𝘢 𝘰𝘣𝘭𝘪𝘨𝘦 𝘢̀ 𝘴’𝘰𝘳𝘨𝘢𝘯𝘪𝘴𝘦𝘳, 𝘢̀ 𝘴𝘰𝘳𝘵𝘪𝘳 𝘥𝘦 𝘴𝘢 𝘻𝘰𝘯𝘦 𝘥𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘧𝘰𝘳𝘵. 𝘋𝘰𝘯𝘤 𝘯𝘰𝘴 𝘵𝘳𝘦̀𝘴 𝘣𝘰𝘯𝘴 𝘦́𝘭𝘦̀𝘷𝘦𝘴 𝘧𝘪𝘯𝘪𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘳 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘪𝘳. 𝘊̧𝘢 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘮𝘢𝘭 𝘢𝘶 𝘤œ𝘶𝘳 𝘤𝘢𝘳 𝘰𝘯 𝘭𝘦𝘴 𝘢 𝘥𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵𝘴 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘰𝘯 𝘯𝘦 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘦𝘯 𝘷𝘰𝘶𝘭𝘰𝘪𝘳. »
Toutefois, il tient à préciser que tous les publics, quel que soit leur niveau, sont pris en considération. « 𝘖𝘯 𝘦𝘴𝘵 𝘦𝘯𝘵𝘳𝘢𝘪̂𝘯𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘦́𝘥𝘶𝘤𝘢𝘵𝘦𝘶𝘳𝘴, souligne Sylvain Defruit. 𝘑’𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘦̂𝘵𝘳𝘦 𝘢𝘶 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘢𝘤𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘨𝘦𝘯𝘴. 𝘖𝘯 𝘢 𝘭𝘢 𝘤𝘩𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘦 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘰̂𝘵𝘰𝘺𝘦𝘳 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯 𝘮𝘪𝘭𝘪𝘦𝘶 𝘲𝘶𝘪 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘦𝘶𝘹 𝘳𝘦𝘭𝘦̀𝘷𝘦 𝘥𝘶 𝘭𝘰𝘪𝘴𝘪𝘳 𝘥𝘰𝘯𝘤 𝘪𝘭 𝘺 𝘢 𝘶𝘯 𝘣𝘰𝘯 𝘦́𝘵𝘢𝘵 𝘥’𝘦𝘴𝘱𝘳𝘪𝘵, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘴𝘶𝘱𝘦𝘳 ! » En dehors des courts, le père de famille ne chôme pas : il s’occupe de gérer les équipes, d’organiser les rencontres, de mettre en place le planning de l’école de tennis, d’animer les réseaux sociaux ou encore de nettoyer le terrain. » 𝘑’𝘢𝘪 𝘵𝘰𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘴 𝘤𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘷𝘰𝘭𝘰𝘯𝘵𝘦́ 𝘥𝘦 𝘮’𝘪𝘯𝘷𝘦𝘴𝘵𝘪𝘳 𝘢̀ 100% 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘮𝘰𝘯 𝘤𝘭𝘶𝘣 ! »
Le jeu set et match n’est donc pas prononcé